Sainte Claudine Thévenet
«Il n’est pas de plus grand malheur que de vivre et de mourir sans connaître Dieu», aimait à répéter sainte Claudine Thévenet qui, elle, avait tout misé sur Dieu
«Il n’est pas de plus grand malheur que de vivre et de mourir sans connaître Dieu», aimait à répéter sainte Claudine Thévenet qui, elle, avait tout misé sur Dieu
Premier novembre 1876, au soir. Auguste Buguet sonne les cloches à l’église Notre-Dame de Mortagne-au- Perche (Normandie). L’une d’elles se détache et, ayant traversé la voûte en y marquant sa forme comme un emporte-pièce, tombe sur le sonneur qu’elle écrase.
Trois mars 1953. Le docteur Luis García Andrade, de Madrid, reçoit en consultation Marie-Victoire Guzmán Gascó. Cette fillette de 2 ans et demi souffre d’une grave infection compliquée de troubles méningés.
Je vous le dis en vérité, si vous ne vous changez de façon à devenir comme les petits enfants, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux (Mt 18, 3). À ses disciples, remplis d’ambition humaine, Notre-Seigneur donne un enfant comme modèle.
Pourquoi tant de nouveaux saints ? Les multiples béatifications et canonisations qui se succèdent chaque année ne risquent-elles pas de banaliser l’événement ? Parvenu dans la vingtième année de son pontificat, Jean-Paul II a déjà procédé à plus de 770 béatifications et 280 canonisations.
Dans un foyer chrétien de la région parisienne, le 20 novembre 1970, vient au monde un enfant qui recevra au saint Baptême le prénom d’Emmanuel. Un frère, Vincent, et une soeur, Anne, l’ont précédé.
Depuis le début de la prédication chrétienne dans le Sud-Est Asiatique (au seizième siècle), l’Église au Vietnam a subi des persécutions qui se sont succédées comme celles qui ont affecté l’Église d’Occident pendant les trois premiers siècles. Il y eut des milliers de chrétiens martyrisés…
Décembre 1964. Le Pape Paul VI se rend à Bombay pour y présider un Congrès eucharistique international. Des millions de personnes se pressent tout au long des vingt kilomètres de route qui séparent l’aérodrome de la ville.
«À quoi bon les moines et les Ordres religieux?» Cette réflexion, incongrue en climat chrétien, est devenue presque banale dans notre société sécularisée.
Un soir de novembre 1882, arrive à Udine (Italie), un adolescent accompagné de son père. Ils se rendent au couvent des Capucins; et comme ils sont attendus, la porte s’ouvre aussitôt pour les laisser entrer.