Saint François-Xavier
Xavier, que sert à l’homme de gagner l’univers entier, s’il vient à perdre son âme?» (Mt 16, 26).
Xavier, que sert à l’homme de gagner l’univers entier, s’il vient à perdre son âme?» (Mt 16, 26).
Allez donc, enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit (Mt 28, 19). Cet appel du Christ a suscité à toutes les époques la réponse de coeurs généreux qui se sont engagés dans la vie missionnaire
Juillet 1941. Le troisième Reich allemand est à l’apogée de sa puissance. Hitler vient de déclencher une attaque contre l’U.R.S.S. et rien ne semble devoir arrêter la Wehrmacht. C’est alors qu’un évêque allemand décide d’élever la voix contre l’euthanasie massive des malades mentaux…
«Magis mori quam peccare – Plutôt mourir que pécher». Cet adage chrétien a inspiré le témoignage jusqu’au sang des martyrs de l’Ouganda que l’Église a canonisés en 1964, insérant cette maxime dans une oraison de leur fête.
Par sa révélation, provenant de l’immensité de sa charité, Dieu, qui est invisible, s’adresse aux hommes comme à ses amis et converse avec eux pour les inviter à entrer en communion avec Lui et les recevoir en cette communion, enseigne le Catéchisme de l’Église Catholique.
Dans un poème célèbre composé avant sa conversion à la foi catholique, John Henry Newman s’adressait ainsi à Dieu: «Sois mon Guide, Lumière aimable, au milieu de l’obscurité qui m’entoure, sois mon Guide !
Lors de son voyage au Chili en 1987, le Pape Jean-Paul II prononça ces paroles pleines d’espérance: «Le Saint- Esprit pourra-t-il susciter de nos jours des apôtres de l’envergure du Père Hurtado…
En 1985, le Cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, fut interrogé par le journaliste italien Vittorio Messori au sujet de la troisième partie du «secret de Fatima»…
Pour de pauvres chrétiens tels que, au fond, nous le sommes tous, les martyrs sont un encouragement à vivre l’Évangile avec sérieux et dans son intégralité, en affrontant avec courage…
Au coeur de la Grande Guerre, en 1917, l’écrivain Anatole France, peu suspect de sympathies catholiques, écrivait: «L’empereur Charles d’Autriche a offert la paix, c’est le seul honnête homme qui ait paru au cours de la guerre; on ne l’a pas écouté».