Le 2 octobre 1979, dans la cathédrale Saint-Patrick de New York, devant une foule immense de fidèles venus saluer le Souverain Pontife, s’avance péniblement, parmi les évêques américains, un vénérable octogénaire qui fléchit le genou. Jean-Paul II le relève et l’embrasse en disant…
«À l’époque moderne, on a pensé que la lumière de la foi était suffisante pour les sociétés anciennes, mais qu’elle ne servirait pas pour les temps nouveaux, pour l’homme devenu adulte, fier de sa raison, désireux d’explorer l’avenir de façon nouvelle.
Saint Jean-Paul II a consacré une part importante de son ministère de successeur de Pierre aux personnes qui souffrent et en particulier aux malades.
«Les mères transmettent souvent à leurs enfants le sens le plus profond de la pratique religieuse, disait le Pape François, le 7 janvier 2015 : dans les premières prières…
Il fait nuit. Nous sommes à la veille de la Première Guerre mondiale, en Patagonie, au sud de l’actuelle Argentine, bien loin des conflits politiques de l’Ancien Monde.
Interrogé sur la source où il puise tant de profondes connaissances, saint Bonaventure indique du doigt son crucifix : « Voilà le livre qui m’instruit. »
«On a souvent dit avec raison que la religion est ce par quoi l’homme ordinaire se sent extraordinaire ; mais il est également vrai que la religion est ce qui fait que l’homme extraordinaire se sent ordinaire. »
«Une caresse de Dieu à notre peuple qui souffre » : par cette expression, le Pape François désigne José Gabriel Brochero, prêtre argentin, béatifié le 14 septembre 2013, dans la ville qui porte désormais son nom.
«Quel cœur plus adorable, plus aimable et plus admirable que le Cœur de cet Homme-Dieu qui s’appelle Jésus ? écrivait saint Jean Eudes aux prêtres de sa congrégation.
«Je ne peux pas ne pas souligner l’importance du témoignage donné par les familles chrétiennes, disait le Pape François, en Corée, le 16 août 2014.
