Saint Pierre-Julien Eymard
Comme la femme de l’onction à Béthanie, l’Église n’a pas craint de «gaspiller», plaçant le meilleur de ses ressources pour exprimer son admiration et son adoration face au don incommensurable de l’Eucharistie.
Comme la femme de l’onction à Béthanie, l’Église n’a pas craint de «gaspiller», plaçant le meilleur de ses ressources pour exprimer son admiration et son adoration face au don incommensurable de l’Eucharistie.